Geovelo

Ce matin à MULHOUSE je repère devant moi un brompton que je hèle (je hèle toujours les bromptonistes) il s’arrête gentiment et on discute, c’est un salarié de geovelo avec son « brompton de fonction »qui faisait son taf de cartographie dans ma ville. Très sympa le gars il m’a redonné l’envie d’utiliser l’application que j’avais un peu oublié en me démontrant par l’exemple qu’elle était plus efficiente que d’autres applis plus populaires...j’ai fait le test sur l’étape MULHOUSE Bâle de tiotvelo et ses copains, nickel.

Bravo velotafmul, toujours à la pointe et au courant des dernières news👏. Bientôt aussi efficace que Macadam ?Toujours satisfait de ton sturmey 3 pignons?
A bien tôt

Nickel le kit BIKEgang quand tu veux pour une installe chez toi sur ton black édition plus black que black. A moins que tu préfères le tpw à plus de 200 balles

Ps : toujours partant pour le 12 mai?
ps2 : loin de maître macadam

Je suis pas ultra convaincu des applications de navigation pour vélo.
Enfin, peut-être que chacun à son équilibre de parcours entre sécurité et rapidité.

Là où j'ai été pas mal piégé avec géovélo, c'était l'été dernier, en voulant rejoindre le canal de Nantes à Brest depuis Ancenis (Loire à vélo). Géovélo était trop protecteur, quitte à me faire traverser 3 fois une départementale en une demie-heure.
Googlemap lui me proposait de prendre une nationale.

J'ai tranché et plutôt pris la départementale.

Pour l'urbain, globalement ca se vaut, pour le péri-urbain, Geovelo a encore des petits trucs à améliorer. Je préférerai que sur les deux fois deux voies et les giratoires il privilégie de tourner à droite plutôt qu'à gauche. C'est un détail tout con, mais niveau "sécurité" ça change tout.

En général j'utilise plutôt googlemap que je trouve plus direct.
Je pense serieusement à m'installer une boussole, ce qui serait beaucoup plus simple pour naviguer.

Le problème est que les données cartographiques (aussi bien connerciales que open maps) sont très peu précises concernant les caractéristiques des routes et chemin : nombre de voies, largeur, densité du trafic automobile, type de revetement, présence de pistes ou bandes cyclables...

En plus, les choses changemt : des routes sont refaites, réaménagées...  Il faut donc en plus mettre les informations régulièrement à jour.

Et donc les applications manquent d'informations ou recoivent des informations erronées.

Collecter de nouvelles informations est un travail gigantesque.

Même pour un géant comme Google : quand on regarde les dates des images Google Street on se rend compte que dans beaucoup d'endroits elles sont veillissantes, elles datent spuvent de 5, 6, 7, 8 ans.  
Je me suis ainsi retrouvé sur... une superbe piste cyclable en site propre séparé de la chaussée, alors que les images de Google Street montraient une vielle route toute pourrie sans piste cyclable (que de ce fait, j'aurai voulu éviter et que je n'ai empruntée que par manque d'alternative) !