numerama: article sur le Brompton Electric

https://www.numerama.com/vroom/609807-test-du-brompton-electric-fallait-il-vraiment-electrifier-la-star-des-velos-pliables.html

Numérama vient de sortir un article sur son test du Brompton electric.
Je ne l'ai pas testé moi-même, mais les reproches viennent principalement des caracteristiques mêmes du Brompton.

En vrac:
- moche
- conduite non sécuritaire
- confort
- terrain de jeu
- prix.


Personnellement, en non électrique, c'est mon vélo préféré pour la ville, car la direction n'est pas "imprécise" et c'est bien le contraire. Les doutes sur la maniabilité sont selon moi une erreur, le Brompton s'avère extrêmement nerveux, son étroitesse et sa reprise permettent justement de remonter les files de voitures dans une position sécuritaire (je n'ai jamais testé le S par contre).

Enfin voilà,
C'est clair que le prix fait réfléchir à plusieurs fois pour de l'electrique.

Déjà évoqué !

L'article commence avec "on retrouve jusqu’à la signature de l’ouvrier qui a soudé le cadre en aluminium."

Ca montre bien le niveau de méconnaissance du produit évalué.

Je ne suis pas enthousiasmé par le Brompton électrique, mais pas à cause des défauts évoqués dans cet article fallacieux.

+1, il m'a suffit de lire le premnier paragraphe pour évaluer l'incompétence du journaliste qui l'a écrit !

Numerama a écrit:

Qui vit en ville connaît bien les vélos pliables Brompton, aperçus sur les pistes cyclables ou tenus en main par des cyclistes dans les boutiques et restaurants. Ces petits vélos aux proportions étranges, mariage entre la trottinette et le cycle à pédale, ont un cahier des charges qui répond à une philosophie : comment faire le plus léger et le plus compact possible tout en permettant toujours de rouler.

Les vélos londoniens sont de véritables objets d’artisanat, portés par la passion de leurs créateurs, que l’on retrouve jusqu’à la signature de l’ouvrier qui a soudé le cadre en aluminium. Pour Brompton, ils sont un argument de poids pour les urbains qui ont peur de se faire voler leur cycle en le laissant dans la rue ou n’ont pas d’ascenseur quand ils ont de quoi le stocker dans leur appartement.

L'article est fait pour faire du clic, c'est Numerama.

L'incompétence et la mauvaise foi sont présents dans toutes les lignes de l'article.

L'auteur se gargarise de la qualité des vélos haut de gamme moustache etc.

Il compare le B aux vélos d4....

Bref un article rédigé par un gros débile incompétent....

Le coup des 2 tours de pédalier pour déclencher l'assitance m'a bien fait rire.

+1

jipe a écrit:

+1, il m'a suffit de lire le premnier paragraphe pour évaluer l'incompétence du journaliste qui l'a écrit !

Numerama a écrit:

Qui vit en ville connaît bien les vélos pliables Brompton, aperçus sur les pistes cyclables ou tenus en main par des cyclistes dans les boutiques et restaurants. Ces petits vélos aux proportions étranges, mariage entre la trottinette et le cycle à pédale, ont un cahier des charges qui répond à une philosophie : comment faire le plus léger et le plus compact possible tout en permettant toujours de rouler.

Les vélos londoniens sont de véritables objets d’artisanat, portés par la passion de leurs créateurs, que l’on retrouve jusqu’à la signature de l’ouvrier qui a soudé le cadre en aluminium. Pour Brompton, ils sont un argument de poids pour les urbains qui ont peur de se faire voler leur cycle en le laissant dans la rue ou n’ont pas d’ascenseur quand ils ont de quoi le stocker dans leur appartement.